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- et leur bruit et leur harmonie et leur mesure
- ce qu’il a fallu de ma nervosité
- de ma panique
- de mes cris d’éternel clochard et de dés de sueur de ma face suante pour faire cela, mon fils
- ô le fleuve de mes mesmuscles fous
- ô le saut de mon sang
- ô le flamboiementbégaiement de mon sang dans la forge viscérale Eh bien! libéral trop longtemps, je dénonce le pacte absurdement respecté de père en fils.
- mon fils,
-
je serai celui-là qui au raaura commencé.
-
Le fils.
-
Mon père, aidez moi à vous aider.
-
Toussaint.
-
Je ne veux pas être aidé, je veux mourir ici.
-
Le fils.
-
Un mot, un seul mot de vous, mon père et votre sort en est changé.
-
Toussaint.
-
Ce mot, je ne le prononcerai pas.
-
Le fils.
- Je veux te rendre à lagloire, à la liberté, à ton île :
-
et le vesou ne sentait pas mauvais, non, dans le matin fruité.
-
Toussaint.
- Ah! le scélérat n’avait pas menti …. Et ils lancent le fils suborné aux trousses